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Votre tour arrive enfin. Vous arrivez devant la justice même. Le seigneur est assis sur son trône, deux conseillers à ses cotés. Ce n'est pas par pure forme de respect que vous vous agenouillez devant lui, mais plus par instinct de survie.
Seigneur : Parle donc insignifiante merdaille !
Il avait pris en réalité un malin plaisir à vous voir vous agenouiller devant lui et aurait réagi autrement si vous aviez commencé différemment. De toute façon, vous sombre couard, avez tellement peur de lui que vous n'auriez pu.
Vous : Oh seigneur Ménard... vous qui êtes infiniment majestueux, imposant et sublime que moi, le misérable cancrelat qui a le privilège de vous servir !
Seigneur Ménard : Oui, oui, bon...
Bien sûr, tout ce que vous dites entièrement dénué d'honnêteté.
Vous : J'ai quelque chose d'affreux à vous conter ! Depuis un certain temps, le village se meurt, mutilé par les atrocités sans nuls autres ! Voleur, assassin, violeur, brigands, éduquant la populace dans le courant de leur pensées !
Seigneur Ménard : Certes, certes. Ces bouffeurs de Keboubs...
Vous : C'est le cas de Justine Biberon ! Ce maudit félon, sous l'oeil avisé de la Diva du village (étant également connu dans tout château), a tenté de me tuer en jurant par tout les dieux que je connaisse !
Seigneur Ménard : Sapristi ! Blasphème que voilà, il n'y en a qu'un !
Vous : Exactement ! Ce démon m'a violemment frappé au visage, voyez comme il est défiguré !
La nature vous a si peu gâtée.
Seigneur Ménard : Cette histoire est ridicule ! Et c'est cette tronche de troll qui me parle des affaires du village ?
Vous : Figurez-vous que Justine Biberon a tenté de m'empaler avec ce gros bâton
Votre seigneur est hilare, à croire qu'il ne vous prend pas au sérieux.
Seigneur Ménard : T'empaler ? Continue !
Garde 2 : Tu parles de ce bâton là ? Celui que tu avais dans les mains avant d'entrer dans le château ?
Ouch !
1 .:. Faire croire que vous l'avez apporté comme preuve
2 .:. Attaquer le garde qui a osé vous interrompre mais vous met encore une fois en danger
3 .:. Continuer comme si de rien n'était