ERENE / ATISCOMIN / ZEPHYROOTS
*Alors que la barrière cédait, le groupe de Voyageurs se distend, Eréné voulait fuir. Atis voulait fuir mais en récupérant Inyo d'abord. Zephy voulait fuir de son côté, Adèle voulait bien rester pour voir si elle pouvait pas péter une ou deux machoires avant de fuir. Gustav regrettait amèrement que l'activité du soir ne se soit pas cantonné à boire des canons.*
Je me doutais que cette histoire finirait mal.
*Alors qu'Atis fait savoir à leur hôte qu'il allait rentrer dans sa maison, récupérer son pote et se barrer, ce dernier répond d'une voix ferme.*
-Personne ne va nulle part.
*Il tend le doigt vers Gustav et Zephyroots qui s'apprêtait à utiliser son pouvoir pour fuir... Je ne sais où étant donné qu'ils étaient dans l'enceinte de la propriété et que le grand portail était toujours fermé (oui, jusqu'à preuve du contraire, ralentir le temps ne fait pas traverser les murs).*
-Soldats du Royaume du Temps qui attaquez ma demeure, que savez-vous de tout ceci ?!
*Pendant ce temps, le bateau amorçait une manoeuvre d'approche, il semblerait que leur objectif ne soit pas de tout péter comme les deux premières attaques le laisser entendre mais juste de faire péter le bouclier afin de pouvoir rentrer dans la demeure.*
-Soldats du Royaume du temps ? Qu'est ce qu'il bave ?!
Inyo a parlé ?
-Votre ami nous a expliqué que vous étiez des soldats du Royaume du Temps en mission. Sont-ils vos alliés ? Quiconque essaiera de nous nuire devra en subir les conséquences.
*Demande l'encapuchonné en demandant donc si le bateau arrivant faisait partie de l'armée du Royaume du temps. A cela, l'avertissement s'adressait à tous. L'encapuchonné semblait avoir Zephy et Gustav dans le colimateur mais un acte jugé de travers d'Atis, Eréné ou Adèle et ils s'en prendraient plein la tronche.
Le ton était ferme et déterminé. Le type n'allait pas faire dans la demi-mesure ou la négoce.
C'était dit.*
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KRASGHÂRN
KRASGHÂRN
*Pendant ce temps, le voyageur put donc admirer le beau bateau qui était en train d'attaquer le palais. Pragmatique, le Voyageur se contente de songer à aider les gens. Inutile de dire qu'à ce stade-là, dans la ville. C'est la panique.
Les rares troupes recrutées et non-formées seraient totallement dépassées par les événements et le pouvoir de Kras, bien qu'utile, n'aurait jamais la portée nécessaire pour aider la population comme il se doit.
Mais c'est bien, il tente.*