Le plan fonctionnait à merveille. Rapidement, la femme se trouva un genou en vrac verrouillé au sol, compliquant d’autant plus sa position. Cependant, alors que j’allais continuer mon enchaînement, je fus pris de court par une attaque auquel je n’avais pas pensé. En effet, experte elle lança son katana droit sur moi. Esquivant la lame in-extremis, je m’en étais sorti de peu mais, sous la surprise, j’avais perdu le contrôle de son ombre la libérant ainsi.
Heureusement que je suis prudent, j’ai vraiment eu chaud…
Un rapide coup d’œil dans mon dos, m’indiquant que le katana était hors de portée, je rédigeais mon regard vers la Voyageuse qui prit de la distance avant de se lever avec difficulté, une main sur le genou. Amochée et désarmée, c’était une aubaine pour moi qui pouvait enfin risquer le corps à corps.
Trois aiguilles d’ombre se formèrent dans ma main alors que dans l’autre mon épée était prête à servir. La suite allait être très rapide désormais, chargeant mon adversaire, je lançais déjà mes aiguilles pour focaliser mon adversaire sur celles-ci.
Elle ne sait pas encore tout ce dont je suis capable, je dois en profiter… !
Une première aiguille se planta à un mètre de ses pieds, formant une petite tâche d’ombre servant de piège. En effet, si l’ombre de la femme passait sur celui-ci, je le sentirais et je pourrais alors en prendre le contrôle et l’immobiliser. Dans le même temps, une seconde passa au-dessus de son épaule pour se planter dans son dos alors que la troisième se dirigeait directement sur son ombre, à gauche.
L’attaque était multidirectionnel, or la Voyageuse devait penser à deux choses : protéger son ombre ainsi que son corps, car la distance se réduisait et je serais bientôt sur elle programmant déjà la suite de l’enchaînement.
Si la troisième aiguille passe, je n’aurais aucune raison d’aller au corps à corps cela dit.
En effet, la seule option pour la femme était de se déplacer sur la droite, afin de ne pas se refaire coincer comme la première fois. Or, maintenant que j’étais presque au corps à corps, mon épée s’allongea pour venir la cueillir au niveau du buste, le déplacement induit par les aiguilles étant un piège pour y parvenir.
Car cette attaque, qui s’avérait mortelle pour l’adversaire qui ne pouvait savoir si l’arme était réellement tranchante ou pas, n’était qu’une feinte de plus.
Prends-toi ça !
Le but de tout ça n’était ni plus ni moins qu’une attaque frontale, d’un bond les bras en croix et le genou en avant je comptais bien lui exploser la cage thoracique, peut-être même le visage si elle avait pour réflexe de se baisser pour esquiver la fausse lame.
Alors qu’au sol, mon ombre comptait bien prendre le contrôle de la sienne. Concentré comme jamais, j’avais longtemps répété ce genre d’enchaînement, même si le coup de l’épée était une variable que je venais d’expérimenter mais non dénoué d’intérêt.
Misant sur la vitesse d’exécution et le handicap apparent de l’adversaire je comptais bien lui placer ce violent coup de genou chargé à pleine vitesse.
Heureusement que je suis prudent, j’ai vraiment eu chaud…
Un rapide coup d’œil dans mon dos, m’indiquant que le katana était hors de portée, je rédigeais mon regard vers la Voyageuse qui prit de la distance avant de se lever avec difficulté, une main sur le genou. Amochée et désarmée, c’était une aubaine pour moi qui pouvait enfin risquer le corps à corps.
Trois aiguilles d’ombre se formèrent dans ma main alors que dans l’autre mon épée était prête à servir. La suite allait être très rapide désormais, chargeant mon adversaire, je lançais déjà mes aiguilles pour focaliser mon adversaire sur celles-ci.
Elle ne sait pas encore tout ce dont je suis capable, je dois en profiter… !
Une première aiguille se planta à un mètre de ses pieds, formant une petite tâche d’ombre servant de piège. En effet, si l’ombre de la femme passait sur celui-ci, je le sentirais et je pourrais alors en prendre le contrôle et l’immobiliser. Dans le même temps, une seconde passa au-dessus de son épaule pour se planter dans son dos alors que la troisième se dirigeait directement sur son ombre, à gauche.
L’attaque était multidirectionnel, or la Voyageuse devait penser à deux choses : protéger son ombre ainsi que son corps, car la distance se réduisait et je serais bientôt sur elle programmant déjà la suite de l’enchaînement.
Si la troisième aiguille passe, je n’aurais aucune raison d’aller au corps à corps cela dit.
En effet, la seule option pour la femme était de se déplacer sur la droite, afin de ne pas se refaire coincer comme la première fois. Or, maintenant que j’étais presque au corps à corps, mon épée s’allongea pour venir la cueillir au niveau du buste, le déplacement induit par les aiguilles étant un piège pour y parvenir.
Car cette attaque, qui s’avérait mortelle pour l’adversaire qui ne pouvait savoir si l’arme était réellement tranchante ou pas, n’était qu’une feinte de plus.
Prends-toi ça !
Le but de tout ça n’était ni plus ni moins qu’une attaque frontale, d’un bond les bras en croix et le genou en avant je comptais bien lui exploser la cage thoracique, peut-être même le visage si elle avait pour réflexe de se baisser pour esquiver la fausse lame.
Alors qu’au sol, mon ombre comptait bien prendre le contrôle de la sienne. Concentré comme jamais, j’avais longtemps répété ce genre d’enchaînement, même si le coup de l’épée était une variable que je venais d’expérimenter mais non dénoué d’intérêt.
Misant sur la vitesse d’exécution et le handicap apparent de l’adversaire je comptais bien lui placer ce violent coup de genou chargé à pleine vitesse.