[E8]La plaine des Nuages

[Père Castor]

*Lou reprend sa marche et ... Termine son périple. Le voilà devant les ruines fumantes de ce qui aurait du être un palais. Aucune trace de Seigneur du feu.*

[Lou]

hum... personne.. je vais voir pour fouiller les décombres... encore.... tssss j'aurais du être homme de ménage !

donc je passe mon temps à chercher des indices et des survivants !

[Père Castor]

*Lou se lance donc à la recherche de ... Quoique ce soit qui pourrait être utile. Il essaie d'enlever les décombres. Mais le tas de gravats était gigantesque malgré l'éparpillement notable des débris. L'explosion avait du être gigantesque pour parvenir à un résultat pareil. Lou était certainement arrivé trop tard et avait raté le Seigneur du Feu qui avait du rentrer chez lui après avoir accompli son méfait.

Après des heures de recherches, rien. Aucun survivant, aucune trace d'un être vivant.

Chose étrange, on dirait que les débris ont déjà été remués.*

[Lou]

dépité, je recherche des indices pour trouver des indices pour savoir qui sont les gens et où est ce qu'ils sont partit !
Car je suis une pute et que mon pouvoir pourrait p'tête m'aider, sinon bah j'erre au hasard du royaume jusqu'à me réveiller si ya rien !

[Père Castor]

*Du coup, Lou trouve une cassette de vidéo de surveillance, un lecteur cassette avec connectique usb et une télé à port usb.

On dirait que son pouvoir venait de frapper.*

[Lou]

-"What the fucking fuck ? Coooooowwwwl"

Je brancha donc le tout et je mis la cassette.

Oh yeah baby, take me like that ! i Love it... Merde changement de cassette...

[Père Castor]

*Et la télé ? Tu la branches où la Télé hein ?!

Ça marche paaaaaaaaaaaaaaaas !*


...

*Non je déconne ça marche quand même. Lou pourra voir une vidéo-surveillance étrange où il verra tout ce qu'il s'est passé. C'est à dire qu'il voit le Seigneur du Feu et ce qui semble être son second arriver à la plaine des nuages et détruire une usine, celle que Lou avait croisé au début de sa nuit. Puis il verra le Seigneur du Feu traverser le Royaume avant d'arriver au chateau. Puis il verra le Seigneur du feu attaquer le chateau et le chateau qui explosera mais beaucoup plus que prévu. Une explosion champignon qui rase un peu tout ce qu'il y'a autour du chateau et loin autour. Une explosion qui vaporise tout autour. Puis une étrange silhouette encapuchonnée qui ira ensuite fouiller dans les décombres à la recherche de survivants et qui n'en trouva aucun...

Personne.

Le Seigneur du Feu est mort.*

[Lou]

-"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH L'ORGANISATION 13 A TUE LE SEIGNEUR DU FEU !!!!!! AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!


Je me mets à courir dans tout les sens en agitant mes bras de droite à gauche, comme un farfadet apeuré dans une forêt en feu puis...


-"Wait... Le seigneur du feu c'est pas genre le chaos et le mal absolu ? Hum... il est mort... Je ferrais ptête de dire ça aux gens ? Pas con ! Je m'aime putain ! I am a fucking genius when I want ! Bitches !


Je cours vers une direction allez à toire pour trouvé des gens !

[Père Castor]

*Sauf que Lou se réveille. Faut pas déconner.*

[Zoran Zmijanovic]

[Zoran arrive de la station de métro]

La meuf était ultra vener, je venais d'abîmer les derniers SkidMacMarx de la collection Bouloutin, elle l'a crié assez fort pour que je m'en souvienne jusqu'à la fin de ma vie.
Ah mais oui non, je suis mort et en enfer c'est vrai. J'oublie. Merde alors comment je peux avoir peur de la mort alors que je suis déjà mort ?
Miss Porno-Japonais soulève son énorme sac-à-main remplit à ras-bord de liquides jaunâtre pour le présenter à mon visage. Je lui souris, sort un:

-T'façon j'suis déjà mort, je peux plus avoir mal !

...et me prend une mandale sévère dans le nez. Je trébuche mais ne tombe pas à terre. En effet, je forme un magnifique angle droit avec les articulations de mes genoux, le reste de mon corps étant parallèle au sol. La salle fait un "oooooh" d'étonnement, enfin je crois, puis la femme aux tentacules soulève à nouveau son sac pour m'asséner le coup final.
Je fais la toupie, me rattrape sur un siège, puis saute à travers la fenêtre, que je pensais ouverte mais au final non.

Je me retrouve dans une immense plaine blanche, je regarde alors le métro pour y voir la femme, énervée comme jamais. Je lui fais un doigt d'honneur puisque de toute manière je suis hors d'atteinte. Un son retentit:

-Plaine des Nuages, deux minutes d'arrêt. Attention à la fermeture aléatoires des portes-à-dents.

Je regarde dubitatif les gens descendre au plus vite, certains se font éclater en deux par les portes du métro qui se rabattent violemment. Merde, revoilà la morue ! Taillos au plus vite, je cours mais ces nuages ne sont pas pratiques.

Mais attend. Des nuages ? Tout s'explique, je n'étais pas en enfer, mais au purgatoire, le métro était mon jugement et me voilà au paradis ! J'exulte de joie, ramasse des nuages pour en jeter comme des confettis. Je suis aux anges, et même Madame Cthulhu ne pourrait inverser la tendance:

-Au paradis la violence est prohibée mademoiselle ! Je suis désolé pour vos chaussures, mais faut dire que votre visage ... enfin, vous voyez ? Mais c'est pas grave parce que je suis au paaaraaadiiiiiss !!

Puis je me souviens que ma vie entière était faite de vice et d'horribles choses. Serait-ce un piège de l'enfer que de me faire croire que j'étais au paradis ? Je regarde cette femme, puis lui demande gentiment:

-En fait, je comprend rien, je suis où ?

[Père Castor]

[HRP: Normalement, on reste sur le même topic jusqu'au moment où on descend de la rame et c'est moi qui met les liens et tout... Masi étant donné que tu sors à la fin de ton message, ça ira pour cette fois-ci =)]

*Zoran avait donc réussi à sortir de la rame de métro pour arriver dans cette étrange région qui le faisait penser à tort au paradis. La femme au sac l'avait suivi et comptait bien terminer ce qu'elle avait commencé... Péter la gueule du Voyageur.

Aussi, elle ignore les 3 autres personnes qui étaient descendus à l'arrêt et elle charge la tronche de Zoran pour venir lui écraser une nouvelle fois le sac sur le visage quand ce dernier tente de calmer le jeu en demandant gentiment où il était. Elle ne comptait pas lui répondre gentiment et l'option "je t'écrase juste mon sac sur ta tronche" semblait plutôt bien lui plaire en fait ... *

[Zoran Zmijanovic]

[D'accord justement je savais pas trop s'il fallait faire ça ou pas, je saurais pour la prochaine fois ^^]

Ma joue embrassa le sac avec un peu trop de vigueur, si bien que je fis quelques tours sur moi-même. Déboussolé, je vois deux femmes faire la toupie avec un sac, puis elles fusionnent. J'eus juste le temps d'esquiver, puis ne sachant quoi faire je lui dis:

-Excusez-moi pour vos chaussures, je peux faire quelques choses pour me racheter ?

Elle ne semblait pas m'entendre, j'étais aux aguets, prêt à esquiver le moindre coup. J'allais pas non plus la frapper alors que j'étais en tort.

[Père Castor]

*Hilare et pas contente, la femme déclare.*

-Manger tes dents, ce sera un bon début !

*Oui, elle était vindicative.*

-Ola du calme !

*Intervient un des passagers qui venait de descendre du métro. C'était un homme plutôt grand et blond. Il semblait vouloir calmer le jeu. Au grand bonheur de Zoran, c'était un humain tout à fait normal.*

[Zoran Zmijanovic]

-Oui je suis d'accord, gardons notre calme. Après tout, on a l'éternité pour discuter.

Le jeune homme qui avait mit fin à cette embrouille semblait de mon côté.

-Ce qu'il se passe c'est que je ne comprend rien, je suis au paradis ou en enfer ?
Mais vous qui êtes humain comme moi, on a vécu sur le même plan astral. Vous venez bien de la planète Terre ? Si oui, à en voir votre calme vous semblez déjà savoir où vous êtes. Madame à l'allure si prononcée pourrait m'expliquer mais j'ai malencontreusement dégueulé sur ses grolls. Du coup elle m'en veut, mais bon, suffit de racler ça sur ces... nuages là, et voilà ! Des chouses toutes neuves !

La dame ne décolérait pas, j'attendais que le garçon sauve la situation par une tournure de phrase alambiquée alors je restais de toute ouïe.

[Père Castor]

*Le mec venu aidé Zoran fut pour le moins interloqué par ses paroles et ne dit rien. Il reste interloqué quelques secondes avant que la mégère ne perde patience en envoyant un coup dans la trogne du gentil samaritain venu porter secours à Zoran.*

-Hé ! Connasse !

*Pendant ce temps, une demoiselle restée non-loin en observation décide de s'en mêler en portant assistance au gentil monsieur venu lui-même porter assistance à Zoran pour venir coller son poing dans le visage de la mégère. Situation, très simple à expliquer et à visualiser n'est-il pas ?*