*Le bonhomme soupire une nouvelle fois et fais signe à Zephy de s'avancer.*
-Alors je veux bien t'expliquer les choses mais t'as intérêt à piger vite parce qu'on va pas y passer la nuit, ok ?*
*Zephy s’avança donc vers le personnage, s’excusant une nouvelle fois auprès de tous. Il s’éclairci la voix afin d’être le plus compréhensible possible pour ne pas gêner d’avantage.*
Ne sachant pas par où commencer, c’est d’un ton hésitant qu’il entama ses demandes.*
Heu … je voudrai que vous m’expliquiez quelques trucs, pour commencer, j’aimerais savoir où je me trouve et comment j’ai pu arriver la ?
*Zephy se demanda si il n’y avais pas autre chose qu’il aimerai savoir par exemple pourquoi ont-ils un points d’interrogation sur la tête ou comment ce faisait-il que du haut de sa petite taille il se trouvait fort grand par rapport à son habitude. Mais ne voulant pas les vexer, il chassa ces idées de sa tête. Puis il s’aperçu que cette pensée n’avait pas échappé à la bizarrerie de cet endroit, elle s’afficha à ses pieds, laissant ainsi le loisir à toutes les personnes présentes de pouvoir la lire. Il jura entre ses dents*
-Merde ! Il fait chier cet endroit à écrire tout ce que l’on pense… on peut rien garder pour nous.
*Zephy releva la tête d’un air gêné et désolé à la fois par sa grossièreté qui s’étais inscrite à nouveau et par peur d’avoir vexé ces personnes, certes pas très aimables au premier abord, mais qui tout de même avaient consenti à l’aider. Etant donné qu’il ne pouvait rien cacher à son interlocuteur, il prit une petite voix, le regarda dans les yeux et lui dit.*
-J’espère ne pas vous avoir vexé mais c’est vrai que pour moi votre apparence est étrange qu’elle en est l’origine si ce n’est pas déplacé ?
*Sur ces mots Zephy eu du mal à se concentrer sur le visage du personnage, ses yeux allaient des yeux de son interlocuteur à son point d’interrogation sur la tête sans même pouvoir les contrôler. Il se ressaisit tout de même après de brefs va et viens afin de se concentrer uniquement sur le visage du petit bonhomme et comme un enfant à qui on conte une histoire, écarquilla les yeux attendant les réponses à ses questions.*