Le Voyageur accepta l’invitation et m’invita à en terminer une fois pour toute. Cependant, ses pieds ne touchaient pas le sol et, compte tenu de ses capacités, nul doute qu’il pouvait foncer à toutes vitesses à l’aide de ses boosters.
Alors que, derrière moi, une nouvelle explosion retentit, je l’entendis à peine. Mes sens étaient focalisés par un unique but, vaincre l’homme en armure qui me faisait face. C’était un formidable adversaire et j’avais honte d’avoir utilisé de tels stratagèmes contre lui, subjugué par la folie.
Non, cette fois, je me battrai de façon honorable, sans artifices.
Tournant autour de ma cible dans le sens des aiguilles d’une montre, je n’avais conscience que de deux choses : mon adversaire et mon corps. Je pouvais entendre les pulsations de mon cœur battre dans ma poitrine, chacun de mes pas résonner dans mes oreilles, le son de ma respiration couvrir celui de l’incendie, sentir la tension dans mes muscles, mes chair brûlées me tirailler.
Je me sentais vivant.
Sans vraiment me rendre compte de la manière qui m’avait mis dans cet état, j’étais parfaitement lucide et concentré sur ce qui allait suivre. Envolé la vengeance, la haine et la destruction, à l’instant présent, seul comptait ce moment précis.
Mon armure se dissipa et seul mon katana subsista. Ce n’était pas une question de force ou de résistance, non. J’avais besoin de toute la vitesse dont je disposais, de précision, mon pouvoir étant concentré dans la lame et son tranchant.
Puis, en un éclair, comme si un signal invisible avait sonné l’heure des hostilités entre les deux combattants, nous nous élancions tous deux, lancé à pleine vitesse, dans un final mortel. La scène semblait se passer au ralentit, sans vraiment m’en rendre compte, ma respiration se coupa, je pris seulement les informations nécessaires à mon action, coupé du reste de mon environnement.
L’activation de son réacteur au coude, sa position à ce moment précis… tout annonçait un direct du droit lancé à pleine vitesse vers mon torse. Son mouvement était prévisible, ma réponse serait donc sans appel.
Faisant pivoter mon épaule gauche vers l’arrière, tout en déplaçant mes appuis au sol dans un mouvement de rotation, j’esquivai l’attaque en tournant sur moi-même, mon bras droit s’éleva dans le mouvement, au-dessus de ma tête, brandissant le katana, puis ma main gauche vint saisir également la garde de l’arme.
Alors, la lame s’abattit d’un coup vif et puissant sur le Voyageur.
Alors que, derrière moi, une nouvelle explosion retentit, je l’entendis à peine. Mes sens étaient focalisés par un unique but, vaincre l’homme en armure qui me faisait face. C’était un formidable adversaire et j’avais honte d’avoir utilisé de tels stratagèmes contre lui, subjugué par la folie.
Non, cette fois, je me battrai de façon honorable, sans artifices.
Tournant autour de ma cible dans le sens des aiguilles d’une montre, je n’avais conscience que de deux choses : mon adversaire et mon corps. Je pouvais entendre les pulsations de mon cœur battre dans ma poitrine, chacun de mes pas résonner dans mes oreilles, le son de ma respiration couvrir celui de l’incendie, sentir la tension dans mes muscles, mes chair brûlées me tirailler.
Je me sentais vivant.
Sans vraiment me rendre compte de la manière qui m’avait mis dans cet état, j’étais parfaitement lucide et concentré sur ce qui allait suivre. Envolé la vengeance, la haine et la destruction, à l’instant présent, seul comptait ce moment précis.
Mon armure se dissipa et seul mon katana subsista. Ce n’était pas une question de force ou de résistance, non. J’avais besoin de toute la vitesse dont je disposais, de précision, mon pouvoir étant concentré dans la lame et son tranchant.
Puis, en un éclair, comme si un signal invisible avait sonné l’heure des hostilités entre les deux combattants, nous nous élancions tous deux, lancé à pleine vitesse, dans un final mortel. La scène semblait se passer au ralentit, sans vraiment m’en rendre compte, ma respiration se coupa, je pris seulement les informations nécessaires à mon action, coupé du reste de mon environnement.
L’activation de son réacteur au coude, sa position à ce moment précis… tout annonçait un direct du droit lancé à pleine vitesse vers mon torse. Son mouvement était prévisible, ma réponse serait donc sans appel.
Faisant pivoter mon épaule gauche vers l’arrière, tout en déplaçant mes appuis au sol dans un mouvement de rotation, j’esquivai l’attaque en tournant sur moi-même, mon bras droit s’éleva dans le mouvement, au-dessus de ma tête, brandissant le katana, puis ma main gauche vint saisir également la garde de l’arme.
Alors, la lame s’abattit d’un coup vif et puissant sur le Voyageur.