Dreamland Reborn

Je tentai de continuer à dévier les coup, et à protéger mes alliés.

-Bah nickel on fait comme ça ! Y'a moy d'arrêter de nous attaquer du coup siouplaît ?

les tentatives de négociation avait commencé.

-oui ce serait sympas s'il vous plait

* Il y a un silence qui accompagne la demande des voyageurs. Enfin, silence dans la conversation j'entends : le bruissement de la végétation qui vous en met plein la mouille fait toujours un bruit de tous les diables.*

- C'est possible. De toute façon mon rendez-vous de dix heures m'attend. finit-il enfin par répondre.

* Dans le brouhaha des feuilles, vous percevez quand même le bruit de ses pas qui s'éloignent. Vous n'avez donc plus de scalpels à gérer.

Par contre, les plantes vertes, elles s'en battent la race de vos négociations.*

Bon, une fois débarrassés du bougre, ça devrait être plus aisé de gérer les plantes.

Bref, y'a un coin derrière où les plantes pourraient pas nous atteindre et où on pourrait attendre à l'abri ? J'avoue avoir aucune notion de la configuration du bousin ; donc ça aiderait.

Sinon, bah je verrai au prochain post.

[HRP : pis les combats c'est beaucoup de posts pour pas beaucoup de progression, donc si on peut tempo, c'est tout aussi opti XD]

De mon côté je continuerai le jardinage en attendant la suite des instructions.

* Eh bien, techniquement, il y a des possibilités pour se mettre à l'abri.

- Les voyageurs peuvent tenter de retourner vers les ascenseurs.

- Ils peuvent aussi partir directement sur leur droite , où se trouve l'emplacement du couloir et des portes menant aux escaliers.

- Ils peuvent aussi tenter une porte au pif de cet étage, l'une d'entre elles menant sans doute au bureau du directeur

Dans tous les cas, il va fallori choisir vite les attaques incessantes commencent à sérieusement entamer votre endurance, particulièrement celle de Klems qui, moins opti que les autres pour le jardinage, doit faire de grands moulinets en tout sens et commence à faiblir*

Ma foi, allons au plus direct. Je tentai mentalement de dégager un chemin, et de me diriger vers une porte relativement proche (si tant était que je n'y percevais pas de glublubluglublu mental).

J'ouvrirai la porte et enjoindrai mes camarades à rentrer.

[HRP : déso, gros projet, pas masse temps en ce moment :) ]

je suis Kras en fermant la file qui rentre dans la salle qu'il à ouvert.

KRAS / INYO

* La porte la plus proche se trouve à un mètre sur la droite, ce que ne fait pas beaucoup de trajet sur l'itinéraire Tom Tom qui t'indique qu'il n'y pas de péage mais que, quand même; il faudrait être plus spécifique sur le gloububoulgu. De toute façon, dans l'océan et de plantes qui ont leur propre bulle, c'est difficile d'estimer à quelle distance et à qui appartient telle ou telle boule.

Le groupe se rue donc sur la porte et s'engouffre dans la pièce avant de refermer ladite prote, coinçant moulte tiges dedans qu'il va falloir trancher/fondre pour achever de verrouiller tout ça.

La pièce dans laquelle il se trouve désormais est un bon vieux bureau avec sa paperasse, sa photocopieuse , son imprimante, sa plante verte, son bol à trombine et surtout sa secrétaire, qui n'est pas sans rappeler la charmante hôtesse d'accueil répondant au doux nom de Jeanne que vous avez croisé tantôt.

Le fait que les deux soient des zombis doit y être pour beaucoup, d'autant que leurs boules sont identiques en termes de sentiment.

Jeanne n°2 vous regarde donc de ses yeux - oui elle en a deux, elle- et... rien. Elle attend*

--------------
SALOW

* Salomé, qui était clairement partie pour mourir en hors champs avec un petit camarade, finit donc sa mise à jour windows 11 et se reconnecte dans un ascenseur en partance vers l'inconnu mais surtout vers un étage au pif. Encore plus au pif maintenant qu'elle a appuyé sur tous les boutons, y compris sur le bouton de l'appel à un ami (aussi appelé assistance technique pour le monsieur qui est coincé dans l'ascenseur ).

Pour information, la vie d'Eustache est pleine de péripéties et de couleurs bariolées depuis qu'il s'est bouffé une demi bonbonne de spray Raid dans la truffe et que son corps recroquevillé a fini dans la corbeille à papier voisine. Il a bien prévenu son invocatrice tantôt, mais cette dernière étant occupée à gravir des escaliers pour sauver son cul, le message est parti sur le répondeur. Déjà qu’il est toujours en vie, il ne va pas chipoter. *

La connexion avec l’esprit de bête est donc aussi intense à vivre que difficile à maintenir mais si la voyageuse tient absolument à vivre dans le déni d’une situation délicate à base d’ascenseur vers l’enfer et à profiter à peu de frais du trip à l’insecticide de son acolyte, elle peut tenter de se concentrer d’avantage sur la connexion. Pour se connecter dans l’autre sens en revanche, cela demande un minimum d’implication de la part d’Eustache et, ce dernier ayant déjà bien du mal à rester connecté à la réalité, il faudrait attendre qu’il redescende de son trip, au moins à un stade où il n’entend plus les couleurs.

Par contre, il est tout à fait possible d’annuler l’invocation puis de réinvoquer dans l’ascenseur un genre de boule jaune recroquevillée en amas de pattes qui « beuuuuuuuuuuuuuuuuuuh » d’un air malade, ce qui va très bien avec son invocatrice au museau ensanglanté qui fait fleufleufleu quand elle parle .
Tel maître, telle invocation.

Tandis que Salow fait le choix qui lui sied le plus concernant le devenir d’Eustache, son devenir à elle – et à Nico, qui est là aussi, faites lui un coucou – se joue dans son coin tandis que l’ascenseur s’arrête tout seul à un des étages au pif que Salow a pressé. Les portes s’ouvrent sur le même type de couloir que plus tôt, dans le même état général que le bâtiment. Il n’y a personne en vue.*

Nous arrivâmes dans une pièce, où Jeanne 2 se trouvait.

Elle a pas l'air bien agressive, pour le moment, donc bon. Une fois la porte refermée derrière nous, je pris la parole.

-Bonjour bonjour ! Mes amis et moi-même souhaiterions rencontrer le directeur, s'il-vous-plaît ? J'ai bien compris qu'il est en pause, mais on peut l'attendre, pas de souci ; on a pas pu prendre rendez-vous cependant, on avait pas le numéro du standard ; et comme on vient de loin, voyez-vous, ça nous arrangerait beaucoup de pas avoir à faire un aller-retour.

Ah, et du coup la raison du rdv, ça serait que je suis un voyageur de ce royaume, et qu'il est techniquement mon seigneur, donc j'aimerais bien pouvoir papoter un coup, ça devrait pas prendre longtemps.

je restais donc sur mes garde face a cette nouvelle...menace?. prêt à intervenir si la violence voudrait prendre la place à la discutions.

* La zombie regarde tout ce petit monde d'un oeil torve et écoute sans changer d'expression l'explication de Krassouille sur la raison de leur présence.

Il y a comme un blanc qui s'installe, Jeanne 2 ne changeant pas d'expression ou de position à la fin des l'explication. C'en est à se demander si elle est bien vivante - si tant est qu'on puisse parler de vivant pour un zombi - et pas juste un genre d'accessoire décoratif.

Finalement, après une bonne trentaine de secondes, la secrétaire se penche lentement, ouvre un tiroir, farfouille vite fait dedans et en sort quatre feuilles - une par personne - qu'elle vous tend.

C'est un formulaire administratif qui vous invite à indiquer votre nom, votre pouvoir et vos éventuels pathologies.

Au moins, elle ne vous fout pas à la porte.*

Ma foi... C'cool, ça me rappelle l'inscription à la fac.

Lol.

Bref, je récupérerai les feuilles, éventuellement des stylos, et tendrai le tout à mes srabs. Je complèterai ainsi mon formulaire.



Puis, quand tout le monde aurait fini (si y'avait pas d'objection), je récupérerai le matos pour le rendre à notre nouvelle camarade.

Bon tout avait l'air de bien se passer. Je me mettais donc a remplir ma fiche