*Un pot de fleur apparut, une table disparut, un pot de fleur fut cassé. Voici donc la logique d'un monde aux lois physiques changées. A croire que le monde quel qu'il soit soit voué à la destruction.*
Pauvre plante *pensa Zeno*
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Tu ne devais pas te trouver là. Je suis navré pour toi, sincèrement...*Zeno s'était accroupi auprès des décombres pour lui susurrer ces mots. Etait il devenu fou de se mettre à parler à une plante. Je ne saurais le dire. Il repensa au taureau qu'il avait fait apparaître involontairement il y a quelques nuits de cela. Ce taureau malheureux, désorienté par la colère et l'inconnu. L'inconnu, un mot si lourd de sens.*
*Ce mélange chaotique avait perdu de sa superbe. Là ou rien n'avait de sens, l'univers avait choisi de lui en donner un: la laideur humaine.*
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Qu'il en soit ainsi*Zeno se concentra, il puisa en lui, cherchant la sensation qu'il percevait à l'invocation de ses portes. Il était neutre, laissant ses émotions de côté. Plus rien n'importait. Ses yeux éteints laissaient paraître, sous son masque, un détachement glacial, la lassitude dépressive d'une âme éteinte. Il concentra son énergie avec une lenteur et un calme exemplaire. D'abord dans sa main gauche puis dans sa main droite. il écarta les bras et invoqua deux portes.*
gauche:
droite:
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Faites votre office et que la fête commence ![HRP: les tailles des images ne reflètent pas la taille des portes. Elles font la même taille. Tout élément rappelant une porte apparu dans l'histoire ou dans une oeuvre est totalement fortuit]