[E8]Royaume Nourriture

[Myralio]

Myralio n'eut pour seule réponse qu'un peu de pisse de Sadix.

Mais il est con ou quoi ??!

Petit réflexe, une esquive sur le côté, du style "olé". Du coup, en plus des odeurs à la con, y'avait une odeur de pisse ... ben bravo, Christine ! Myralio se rapprocha donc de l'autre côté de la cage. Là où il y avait Yan.

Alors on continue d'avancer ensemble ?!

Mais il est con ou quoi ??!

Et voila. Myralio se demandait pourquoi ils étaient pas vraiment morts, tiens. D'abord le premier qui pisse partout, et le deuxième qui a failli se faire tuer, pardonne comme si c'était une broutille. Mais le passe-muraille n'allait pas s'en plaindre. Ce qui était aussi strange, c'était que Sadix avait réagi plus violemment que Yan. Bizarre bizarre.

_ Bah euh ...

Phase de choc ... fin de la phase de choc.

_ Ouais. Et merci alors, je crois.

Il serra la main tendue de Yan.

[xvii]

Maintenant qu'ils étaient tous réconciliés Yan déclara :

- Hé les gars la nuit prochaine pensez à moi , je sais pas encore ou on va aller mais je croit que je vais penser à un endroit que j'ai déja visité. En plus j'ai pas envie que ce soit myra parceque il risque de nous emmener encore dans un plan foireux

*Pouf* le jeune voyageur disparus dans un nuage de fumée

Puis il se réveilla dans son lit et pensa :

- Pfiou , plus jamais je remettrait les pieds dans ce royaume moi ! Bon , la nuit prochaine je croit que je vais reprendre l'entrainement !

[Sadix]

Une foie que j'ai eu fini de pisser sur Myra, sur m'suis tranquillement assis sur quelque chose de visqueux.

_Aaaaaah c'est vraiment trop dég......

_________________________________________

BIDIBIDIP BIDIBIDIP BIDIBIDIP !!!!!!!!!!

_Raaaaaaah la flemme, bon se soir je vois Myra et on va rediscuter de tous sa. Sale traitre même si j'aurais fait pareille!!

Et je suis partie pour une journée de cour complètement pourris.

[Myralio]

Bon ben en fait, on l'a pas trop fait chier ... tant mieux, ça s'est passé merveilleusement bien. Un peu de pisse, et un petit reste d'amertume dans la bouche des deux autres voyageurs.

Super, j'me suis à moitié réconcilié avec Yan, Sadix s'est déjà vengé, reste plus qu'à attendre de se réveiller.

_ Et au fait, demain, on va où ?

Myralio se tournait plutôt vers Yan, il en avait assez chié comme ça, il choisirait pour cette nuit.

_ Bon, ben en fait, tu vas t'endormir, et on te rejoindra, hein !

Et quelques minutes plus tard, Yan se réveilla. Les minutes semblaient bien longues, à ne rien faire dans sa cage. Pas de discussion entre les deux voyageurs restant, juste le silence, et le couinement des rats encore présents.
Environ 30 passages de rats après (looooongtemps), Sadix se réveilla. Ce n'est que cinq minutes plus tard que Myralio se réveilla.

Pouf !
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_ Beuuuuuaaaah ... crevé.

[Fullflo]

* Florian avait mangé une raclette, mais pas le genre de petit raclette ou on fait fondre du fromages pour deux petits patates, la c'était la raclette qui dure jusqu'à minuit et des poussière avec un plateau de charcuterie, deux tonnes de fromages etc... mais nous ne sommes pas la pour parler de raclette... durant la raclette Florian s'endormit devant sa patates.
Et à son réveil Florian se réveilla, dans, un pays raclette, ouais, le sol en formage, des hommes patates, des poteaux cornichons etc.... *
- Bienvenu au royaume gourmande, région salée, vous êtes ici à bourg raclette!

* Florian leva les yeux, et une une grosse prête pour l'abattoir, criant à sans décroché la mâchoire*
- Mangé, ripaillé, vous pouvez, on dit deux secondes dans la bouche deux mois sur les hanches, je vous dit faux, ici vous pouvez le garder deux heures dans la bouches rien ne restera sur vos hanche!

* le discours de la dinde avait convaincue les gens qui cirait qu'il voulait manger, mais Florian était septique, manger autant pour finir comme la grosse dinde, non merci *
- On mange quoi et comment!

* Hurla une voie plus loin *
- Les murs sont comestibles, le sol est comestible, les habitants sont comestibles, vous mêmes vous êtes comestible, mais si vous vous entre dévorer on appelle ça du cannibalisme dans votre monde
C'est quoi cette réplique de Charly et la chocolaterie ,on est tombé dans Florian et la racletterie ou quoi ( rire ).

* Le dindon se mit à ricané et partit mangeant au passage un bout de saucisson.
Les gens autour de Florian firent comme la volaille et mangèrent la petite ville raclette. *
- Vous avez jamais lu hansel et grettel

* Mais à force de voir les gens manger, Florian se laissa emporter par son appétit et son envie de manger, et dévora lui seul un immeuble de patate *

- Passons à la montagne de Fromage!
* Hurla Florian en se réveillant *

[Kiel]

*Dans quoi je vais atterrir aujourd’hui… Un volcan, une tornade, une mer aux requins. Rien que d’y penser ça me fait vachement envi.*

_Hahaha…

C’était son habituel rire blasé, fatigué et lassé. Il avait 2 fois frôlé la mort suite à 2 motifs stupide. Gabriel se demanda même si ça valait le coup de dormir ou de rester en vie dans Dreamland. Maintenant une flemmite aiguë le saisit d’assaut. Il n’était plus motivé pour faire quoi que se sois dans ce monde aux trous paumés.

*J’y pense mais ce gars m’a dit que je m’y plairai… C’est vrai que ce monde possède des coins pas mal, cette nuit avec Dolche m’avait vraiment plu. Bon bah… au dodo ! Je suis sûr que cette nuit sera formidable !*

Le même procédé habituel, il se retrouve aspiré lalala et il se réveille.

*Ah la fin c’est lassant ce truc… On se réveille toujours de la même manière… sert à rien c’truc.*

Lorsqu’il ouvrit les yeux, il se retrouva dans… une forêt !

_Encore ! Mais c’est que c’te végétation me colle à la peau ! Si ça continu, j’vais me faire toutes les forêts de Dreamland. Tint ! Je suis pas un écolo moi, suis un vrai citadin, pur et dur !

Mais en y regardant de plus prêt, il remarqua que ce n’était pas des arbres ordinaires. On aurait dit… du cèleri. Il croqua un bout de tronc et le recracha direct.

_C’est du cèleri… Beurk.

#_Ey gros dégueulasse !#

Gabriel ne dit plus un mot. Il se retourna doucement et vu avec surprise, deux avocats de sa taille qui se tenait devant lui les bras croisés.

_Des… Avocats… Ok je suis où là ?

#Au royaume nourriture pardi !#

_Ah ? Et vous voulez quoi au juste ?

#C’est qu’il est impétueux ce petit#

#Je dirai même plus, c’est qu’il est un peu péteux ce putois#

Il ne chercha même pas à comprendre ces deux navets, il décrocha un formidable coup de la mâchoire et dévora ces pauvres légumes en un rien de temps.

_Pas de chance, j’aime les avocats.

Il se remit en marche et fini par atterrir dans une large clairière. Il n’y avait rien sauf une plateforme à l’odeur d’endive bien fraiche. Il marcha jusqu'à cette plateforme et monta dessus. Contre toute attente, elle était extrêmement dure et résistante. Il allait donner un grand coup de pied lorsqu’il ressentit une tension dans l’air. Il fit alors volte face mais il ne trouva rien dans les parages. Pourtant, les vagues d’énergie négative ne cessait de s’engouffrer dans l’immense clairière, ce qui en même temps désorientait Gabriel. Il du finalement se résoudre à activer son pouvoir mais une vague d’énergie d’un bleu sombre l’entourait, il ne pouvait pas repérer son âme.

*Encore… Je me retrouve en présence d’une personne puissante. Encore plus puissant que ceux que j’ai déjà rencontrés. Il vaudrait mieux ne pas créer de mauvaise histoire.*

_Je me rends… S’il vous plaît, pouvez-vous vous montrer ? Je ne cherche aucune confrontation… De plus, ce n’est que ma 4e nuit !

En réponse à ces dires, il sentit un mouvement quelque part se diriger vers les airs…

[Père Castor]

*Le mouvement qu'il sentit était en vérité plusieurs masses qui tombaient sur le sol... *

-Parachutage réussi !

*Et en un instant, Gabriel se retrouva entouré de soldats apparemment sur-entrainé qui le pointaient avec leurs armes au combien tranchante... Gabriel se trouvait devant l'armée personnelle du Lord Métaknight ... L'escouade des hommes poireaux ... *

-Voyageur ! Tu t'approches du chateau du grand Maitre Métaknight... Maitre de ces lieux !

-Qu'as tu à dire pour ta défense Vil Pourceau !

[Kiel]

Le mouvement qu'il sentit était en vérité plusieurs masses qui tombaient sur le sol...

-Parachutage réussi !

Et en un instant, Gabriel se retrouva entouré de soldats apparemment sur-entrainé qui le pointaient avec leurs armes au combien tranchante...

-Voyageur ! Tu t'approches du château du grand Maitre Métaknight... Maitre de ces lieux !

-Qu'as tu à dire pour ta défense Vil Pourceau !

_Pardon ?

Il n’avait pas saisit où ils voulaient en venir. Il allait répliquer qu’il était désoler et qu’il s’en allait sur le champ lorsque son regard du coté droit se posa sur une des épées tranchantes de ces soldats. Il se mit à réfléchir puis regarda attentivement l’âme de ces soldats. Il n’arrivait pas à déterminer leur force mais elle semblait forte. Ce n’était pas de simple légume, il avait en eux une puissante flamme de volonté. Et leur maitrise de l’épée devait avoir sans doute été donné par un maitre épéiste, pile ce dont il avait besoin. Il désactiva son pouvoir et sa vrai personnalité repris le dessus, les soldats l’avait peut être remarqué.

_Hahaha… Je suis désolée pour se dérangement mais je ne sais pas comment je suis…

*Mais qu’est-ce que je raconte ! Si je leur dit que je me suis retrouvé ici par hasard ils vont me prendre pour un paumé et m’achever ici sur place ! Faut jouer le bluff à fond*

_Euh…*tousse un peu* Je voulais dire qu’en fait je suis à la recherche de Lord… Métaknight pour qu’il m’enseigne l’escrime mais si c’est trop demandé je suis d’accord de repartir !

Sans le vouloir, son pouvoir repris le dessus et de même que son autre personnalité.

_S’il le faut je lui prouverai ma valeur, même s’il faut mourir pour cela !

Il ferma les yeux et croisa les bras en attendant une réponse de leur part…

[Père Castor]

*Les soldats ricanèrent ... *

-Si tu veux mourir ... Pas besoin de te déplacer jusqu'au chateau ...

-Nous pouvons très nous en occuper ...

*Sur ces mots, un Homme-Poireau, armé d'une lance, planta son arme dans l'estomac du Voyageur... *

-Ça ira où je continue ?

[gutgut]

-aaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH!

*Gut atterri dans un bruit sourd en plein milieu d'un désert de sel; en face de lui s'étendait à perte de vue des frittes et autres met finement salés.*

-Pinaise ça fait un an et demi et j'arrive toujours pas à atterrir convenablement.

*Il s'épousseta et tourna sur lui même pour se retrouver face à un palais immense semblant avoir été construit avec un assortiment de cristaux qui scintillaient au soleil.*

-Bon si je veux enfin pouvoir utiliser mon pouvoir de contrôleur des pâtes on m'a dit que le royaume nourriture serait l'endroit idéal. J'en ai marre de courir partout depuis des mois pour trouver des Panzani. Quant même qu'est ce qu'il ne faut pas faire pour utiliser ces pouvoirs...

*Il bailla à s'en décrocher la mâchoire et avança vers le palais. Malgres la distance qui le séparait encore de l'édifice Gut était sûr et certain que le palais qu'il avait cru recouvert de cristaux était en fait construit en sel brut. L'entrée principale était gardée par deux hamburgers armés de ce qui semblait être des cure dents de la taille d'une lance.*

Ah bah tien voila que c'est la bouffe qui fait le piquet maintenant. Celui qui a imaginé ça est quant même sacrément tordu.

*Il s’arrêta à une demi-dizaine de mètres devant eux et commença à parlementer avec les hamburgers qui vu de si près semblaient avoir des crocs gros comme le pouce.*

-Euh.... salutation messi... enfin quoi que vous soyez. Je cherche à voir le responsable de tout ce fatras parce-que j'en ai ma claque de tout ces loquedus qui vous envoient à droite et a gauche sans que jamais personne ne vous indique la bonne direction.

[Père Castor]

GUTGUT

*Les deux hamburgers te rient au nez.*

-Ah ah ah ! En voilà des exigences petit ! Mais tu sais pas à qui tu parles ! Ici tu es devant la résidence de Messire Mac Donagall ! Empereur des Frites Trop grasses et trop salées ! Rien ne l'oblige à te recevoir Manant !

-Maintenant trace ton chemin si tu veux pas que je care mon cure-dent dans ton falzar !

*C'est à ce moment qu'un cri retentit d'une fenêtre du chateau ... *

-AH PUTAIN !!!

*Gutgut reçut alors un truc sur la tête ... QU'EST CE QUE CELA POUVAIT-IL BIEN ÊTRE ?! *

[gutgut]

-Ah ah ah ! En voilà des exigences petit ! Mais tu sais pas à qui tu parles ! Ici tu es devant la résidence de Messire Mac Donagall ! Empereur des Frites Trop grasses et trop salées ! Rien ne l'oblige à te recevoir Manant !

- L'empereur des fritte je l'empoivre moi ... et traite moi encore une fois de maman et je te bouffe;
quant on est commestible on évite de narguer un affamé.

-Maintenant trace ton chemin si tu veux pas que je care mon cure-dent dans ton falzar !

-Tu peux parler tu as une salade en guise de caleçon et un bou de pain comme falzar....

*Devant l'agréssivité évidente du hamburger qui commençait a sautiller vers lui le cure dent en avant Gut fit un pas en arrière.*

-AH PUTAIN !!!

*Gutgut reçu alors un paquet de Tuc sur la tronche, le choc du petit objet tombant de si haut et de la caboche creuse de Gut produisit un bruit improbable, mélange entre le craquement et le gong. Gutgut se frotta le crâne et ramassa le paquet de tuc, déplia une fourchette suisse et la pointa vers le hamburger tel un escrimeur.*

-AHAH qui qui fait moins le malin maintenant?

[Kiel]

Sur ces bonnes paroles les soldats ricanèrent ...

-Si tu veux mourir ... Pas besoin de te déplacer jusqu'au château ...

-Nous pouvons très nous en occuper ...

D’une vitesse surprenante, un Homme-Poireau, armé d'une lance, planta son arme dans l'estomac du Voyageur de la vérité...

-Ça ira où je continue ?

_Vous…

Il cracha du sang et commença à trembler. Étrangement, il ne ressentait aucune douleur. Pire que ça, il ne ressentait plus rien du tout. Alors qu’il rassemblait son courage pour finir sa phrase, il aperçu un homme le fixer d’un air consterné. Lorsqu’il se retourna, sa vue se brouilla soudainement et son pouvoir disparu et ne se ne manifesta malgré sa volonté.

_Je dois… Metaknight… le voir… c’est si important. Laissez moi passez… je vous en supplie…

Bientôt il ne distinguait plus rien, tout était si flou et les sons qu’il percevait vaguement étaient étouffés dans un silence pesant et lourd.

_Dol…che…

*Dolche… si j’avais pu avoir la chance de te revoir… au revoir mon ami…*

Ce fut ensuite l’abîme. Le noir le submergeait et sa souffrance semblait à présent évanouie. Soudainement, son œil gauche s’ouvrit, faisant ouvrir un trou dans ce vide ténébreux. Il distingua d’abords une femme tenant un bébé dans les bras puis une pièce entouré de jouet. La femme déposa son enfant et s’approcha du trou. Gabriel commença à avoir peur mais aucun son ne sortit de sa bouche. Lorsque la femme qui a son grand étonnement n’avait pas de visage lui tint son visage entre ses deux main, des larmes amères lui coula de joues. Il leva sa main droite pour toucher la joue de cette dame qui lui laissait perplexe mais elle disparu dans une pluie de poussière doré comme le vide noir qui s’étendait autour de lui. Il se trouvait à présent sur un plateau blanc dont le ciel bleu était décoré de quelque nuage blanc d’une couleur blancheur immaculé et inégalable. Une boule lumineuse apparu devant lui et parla d’une voix mélodieuse.

_Tu apprendras bientôt la vraie vérité… mais tu es encore faible. Laisse-moi te dire que la mort n’a rien de faible mais aussi n’a rien de puissant. Si tu es faible alors tu seras écrasé par la vie. Sois fort et résiste à ce que réserve le destin. Même si certaine chose te semble irréversible sache que tu pourras toujours remanier l’histoire. Tu es l’écrivain de ta vie…

A ces mots, la boule disparue et son monde avec. Il fini par se réveiller dans une pièce verte. Sa vue était encore embrouillé et il ne percevait plus rien. Il essaya de se relever mais il ressentit une intense douleur et décida de ne pas trop forcer. Finalement, il se laissa, couché dans quelque chose d’à la fois dur et moelleux.

[Père Castor]

GUTGUT

*L'Hamburger fit un saut en arrière quand il vit un objet tomber du ciel... Il pointa son cure-dent en mode défensif alors que le Voyageur semblait être armé... Il se tourna vers son collègue.*

-Sonne l'alarme, je vais l'attaquer !

*Son collègue disparut derrière une porte, alors que l'hamburger se jeta vers le Voyageur, qui ne put ramasser l'objet qui était au sol.*

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DEATH

*Alors que Gabriel est dans une salle verte, tout s'assombrit peu à peu ... Il fait noir... Il ne voit rien, mais Il entend des gouttes d'eau tomber sur une flaque... C'est un bruit lent ... Soudain, il entendit une grosse porte aux gonds rouillés s'ouvrir... Ses mains sont liés à ce qui semble être des chaines, mais il ne voit toujours rien ... Il ne sait pas où il était... Certainement dans des cachots, la salle verte devait faire partie de son hallucination.
Sa douleur sur le flanc n'était pas partie, bien qu'il sentait qu'une sorte de bandage devait faire pression dessus.
Une voix retentit alors.*

-Qui es-tu Voyageur ? Quels sont tes liens avec le Corbeau ?

[Kiel]

Alors qu'il reprenais tout à coup vie, la pièce autrefois verte s'assombrit pour laisser un noir totale. Sa vue encore brouillé lui indiquait qu'il n'était pas encore rétablit sans oublier qu'il ne voyait que des traies noire onduler sur toute la pièce. Il fit un mouvement et sentit des bandage faisant pression sur sa blessure. Il n'entendit que quelques minutes plus tard les nombreuses gouttes d'eau qui tombait sur une flaque invisible. Alors qu'il essayait de s'orienter, il sentit quelque chose de froid lui serrer les poignets. Après quelques minutes de réflexions, il constata avec horreur qu'il était dans un cachot les yeux bandé et les mains attaché. L'air était assez humide et les fers assez résistant. De toute façon, il allait peut être se réveiller...
Il était las d'entendre ce même bruit lent, et pensé ne faisait qu'aggraver ce long moment de silence qui s'était installé. Il allait commettre un suicide lorsqu'il entendit un bruit assez strident. Visiblement, on avait ouvert une porte rouillé, du moins, c'est ce que l'odeur dans l'air lui montrait. Il s'était rendu compte qu'après s'être évanouis, il avait été emprisonné, il avait été conduit dans un cachot et que la salle verte ne pouvait être que de la pure imagination étant donné qu'il avait les yeux bandé. Un mouvement se fit sentir dans l'air et l'œil de Gabriel s'activa à son commandement.

*Je n'arrive pas à voir correctement la forme de son âme... tout est étalés, je dois être encore faible.*

La personne émit quelque sons qu'il réussi malgré tout à déchiffrer.

-Qui es-tu Voyageur ? Quels sont tes liens avec le Corbeau ?

*Le corbeau? Qui?*

Soudainement, il ressentit une émotion étrange et pensa à Dolche.

Do...Dol...Dolche?

Il avait du mal à parler mais finalement il reprit d'une voix plus forte mais encore faible.

Je suis Gabriel... Voyageur de la vérité... Je ne suis ici que depuis très peu et je l'ai rencontré dans une forêt par hasard...

Il s'arrêta un moment avant de prononcer des paroles très clair qui indiquait qu'il avait un bon niveau oratoire.

Je m'appelle Gabriel et je suis un voyageur qui a eu comme pouvoir celui de la vérité. J'ai rencontré Dolche à ma troisième nuit dans une forêt, sans doute celle ou j'ai été attaqué lors de ma seconde nuit par un homme avec des dreads rouge... Si vous voulez savoir ce qu'il s'est passé lorsque j'ai vu celui que vous appelez le corbeau... On a juste chanté une chanson puis il s'est présenté... Il m'a juste dit son prénom, Dolche puis m'a avertit que je me plairais ici à Dreamland... Mais depuis que je suis arrivé ici, j'ai faillis mourir. Le type au dreads rouge a faillit me tuer et a renoncé lorsque je lui ai parlé de personnes maitrisant la foudre... Puis ensuite, après avoir vu Dolche, un être que je hais m'a attaquer et veux à présent me tuer chaque fois qu'il me verra dans Dreamland... Il s'appelle Deus...

A peine eu t'il prononcé le mot maudit que son œil pleura une quantité abondante de larmes de sang, trempant et teintant son bandeau. Son corps ne lui faisait pas mal, il ressentait juste une sensation tellement désagréable qu'il en vomi du sang... Il était chaud et fiévreux. Mais tout s'estompa d'un coup et il posa sa tête lourde contre le mur avant de laisser un long soupir de soulagement.