J'ai des doutes.
-...
Nous doutons.
-...
Tu m'écoutes ?
-Hein euh... quoi ?
C'est ça oui... marche tout seul sans rien dire et fait comme si j'étais pas là.
-Mais... tu me veux quoi à la fin !
Rien. Regarde : Gabriel marchait paisiblement lorsqu'un cailloux le fit tomber !
-Aie.. merde !
Et il roula sur le sol, lequel s'affaissa légèrement. Et c'est par malchance qu'il dévala une pente rocailleuse.
-Ouch aie oumpf arrrchhh aie ouille !
Il eut de la chance, il ne s'était brisé aucun os. Mais sa fierté en revanche...
-Espèce de narrateur de bas fond ! Tu fais ça uniquement pour te défouler !
Effectivement, tu es le personnage auquel on m'a assigné, et honnêtement, t'animer me gonfle !
-Teh ! Si ça te fait chier, tu n'as qu'à arrêter !
Comme si je pouvais changer de personnage comme ça à volonté. D'autant que ta personnalité a été calqué selon mon identité !
-Quelle personnalité de merde alors ! Je ne compte plus les nombres de fois où j'ai dû tout recommencer !
Je t'interdit de me parler sur ce ton, espèce de coprophage débridé !
-Wow... ça c'est de l'insulte !
Merci.
-C'était de l'ironie, sombre demeuré.
Je ne peux plus te sentir, immonde macchabée.
-Je serais bien plus vivant, si quelqu'un d'autre pouvait m'animer !
Prends un ton moins avenant, si tu ne veux pas finir comme avant !
-Entre tes mains, je ne suis qu'un pantin ! Entre les mains de l'animation, je suis bien plus malin. Et si je dois rester à faire l'opportun et être tient, je préfère encore crevé entre les siens. Et je parle bien de père castor.
Sans ma miséricorde, celle que je t'accorde, tu serais le dernier des derniers dans toute cette discorde. Honnêtement, chaque fois que je t'anime, c'est la corde qui te pends à chaque aventure idiote.
-Regarde comme je si blessé, et ce n'est pas mon incapacité à gérer mon attention. Ce n'est là que le résultat d'une vendetta organisé par un narrateur éméché !
Je n'en revient pas, je suis en train d'argumenter avec un personnage qui intervient à chaque narration. Mais qu'ai-je donc fait pour mériter un tel félon, qui plus ait mauvais à rester sobre dans une conversation.
-Parler en rîmes à ton personnage est d'autant plus risible que d'attirer son attention.
Tient, prends toi donc le sol. Tu as déjà du bol, que je ne te fasse pas lécher popol.
-Tes paroles immondes n'ont plus aucun sens. Quels sont ces ondes d'idiotie qui m’apparaissent soudain ? Mais oui, c'est ce narrateur honnie, ce dépravé abusif. Même ce cygne a subit tes idées avant-gardistes. Pour peu qu'elles aient du génie, elles ont au moins le mérite d'être inédite.
Peu m'importe tes bassesses, tu n'est que faiblesse. Et puisque tu m'épuises avec tes maladresses, tu te réveilleras dans ce taudis que tu appelles forteresse.
-Et donc, comme ça, tu vas juste me renvoyer là bas. Par simple esprit de contradiction.
Il n'y avait aucune condition. C'est par pur dévotion que je te revois là d'où tu viens.
-Je crains cher narrateur, que malgré ta détermination à faire de moi ta dernière cible d'extermination, je sois redevenu ton acquisition.
Parbleu, sacrebleu. Mais qu'allons nous devenir tout les deux ?
-J'ai peut être une idée.
Expose ton idée, qu'on puisse partir manger.
-Et voilà notre nouvelle épopée.
Cela pourrait marcher.
-Bien, c'est scellé, allons dévorer ce que nous avons gardé pour plus tard.
Et c'est ainsi que Gabriel se réveilla. Sans aucun souvenir aucun, de cet échange cordiale.
-...
Nous doutons.
-...
Tu m'écoutes ?
-Hein euh... quoi ?
C'est ça oui... marche tout seul sans rien dire et fait comme si j'étais pas là.
-Mais... tu me veux quoi à la fin !
Rien. Regarde : Gabriel marchait paisiblement lorsqu'un cailloux le fit tomber !
-Aie.. merde !
Et il roula sur le sol, lequel s'affaissa légèrement. Et c'est par malchance qu'il dévala une pente rocailleuse.
-Ouch aie oumpf arrrchhh aie ouille !
Il eut de la chance, il ne s'était brisé aucun os. Mais sa fierté en revanche...
-Espèce de narrateur de bas fond ! Tu fais ça uniquement pour te défouler !
Effectivement, tu es le personnage auquel on m'a assigné, et honnêtement, t'animer me gonfle !
-Teh ! Si ça te fait chier, tu n'as qu'à arrêter !
Comme si je pouvais changer de personnage comme ça à volonté. D'autant que ta personnalité a été calqué selon mon identité !
-Quelle personnalité de merde alors ! Je ne compte plus les nombres de fois où j'ai dû tout recommencer !
Je t'interdit de me parler sur ce ton, espèce de coprophage débridé !
-Wow... ça c'est de l'insulte !
Merci.
-C'était de l'ironie, sombre demeuré.
Je ne peux plus te sentir, immonde macchabée.
-Je serais bien plus vivant, si quelqu'un d'autre pouvait m'animer !
Prends un ton moins avenant, si tu ne veux pas finir comme avant !
-Entre tes mains, je ne suis qu'un pantin ! Entre les mains de l'animation, je suis bien plus malin. Et si je dois rester à faire l'opportun et être tient, je préfère encore crevé entre les siens. Et je parle bien de père castor.
Sans ma miséricorde, celle que je t'accorde, tu serais le dernier des derniers dans toute cette discorde. Honnêtement, chaque fois que je t'anime, c'est la corde qui te pends à chaque aventure idiote.
-Regarde comme je si blessé, et ce n'est pas mon incapacité à gérer mon attention. Ce n'est là que le résultat d'une vendetta organisé par un narrateur éméché !
Je n'en revient pas, je suis en train d'argumenter avec un personnage qui intervient à chaque narration. Mais qu'ai-je donc fait pour mériter un tel félon, qui plus ait mauvais à rester sobre dans une conversation.
-Parler en rîmes à ton personnage est d'autant plus risible que d'attirer son attention.
Tient, prends toi donc le sol. Tu as déjà du bol, que je ne te fasse pas lécher popol.
-Tes paroles immondes n'ont plus aucun sens. Quels sont ces ondes d'idiotie qui m’apparaissent soudain ? Mais oui, c'est ce narrateur honnie, ce dépravé abusif. Même ce cygne a subit tes idées avant-gardistes. Pour peu qu'elles aient du génie, elles ont au moins le mérite d'être inédite.
Peu m'importe tes bassesses, tu n'est que faiblesse. Et puisque tu m'épuises avec tes maladresses, tu te réveilleras dans ce taudis que tu appelles forteresse.
-Et donc, comme ça, tu vas juste me renvoyer là bas. Par simple esprit de contradiction.
Il n'y avait aucune condition. C'est par pur dévotion que je te revois là d'où tu viens.
-Je crains cher narrateur, que malgré ta détermination à faire de moi ta dernière cible d'extermination, je sois redevenu ton acquisition.
Parbleu, sacrebleu. Mais qu'allons nous devenir tout les deux ?
-J'ai peut être une idée.
Expose ton idée, qu'on puisse partir manger.
-Et voilà notre nouvelle épopée.
Cela pourrait marcher.
-Bien, c'est scellé, allons dévorer ce que nous avons gardé pour plus tard.
Et c'est ainsi que Gabriel se réveilla. Sans aucun souvenir aucun, de cet échange cordiale.